Ça s'est passé en 2022


Un chantier participatif pour la mise aux normes du paratonnerre

Les élus, Jean Le Magourou, René Leray et Michel Connan, ont bravé la pluie pour reboucher la tranchée du paratonnerre.

 

Une mise aux normes du paratonnerre du bourg de Peumerit-Quintin, installé contre l’église, a été effectuée par l’entreprise spécialisée Bodet, de Trémeline (45). Pour réduire la facture à 4 200 € TTC, la municipalité avait décidé de confier la réalisation d’une tranchée aux volontaires de la commune. « Nous avons pu réaliser une économie substantielle, se félicite le premier adjoint, Jean Le Magourou. Par ailleurs, le faire ensemble, reliquat des corvées d’antan, est toujours une belle occasion de partage et de bonne entente, à l’heure où le virtuel remplace les vraies relations sociales ! »

 

Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


Les jeunes cyclistes du centre Armor étaient en stage

Quinze jeunes de 17 et 18 ans composent la promotion 2023 U19 (catégorie junior) de l’équipe cycliste Centre Armor mixte, une entente de huit clubs du Centre-Bretagne, dont Jean Le Magourou assume la direction sportive.  L’entente a été créée pour former une équipe de niveau national. Cela fait maintenant quatre ans de suivi, trois saisons de courses en national junior, dont deux courses en international. Nous visons quatre courses en international Junior en 2023. 

L’équipe s’est réunie, samedi 17 décembre, à Peumerit, pour sa deuxième journée de stage. Pendant la matinée, Jean Le Magourou a développé le thème du foncier d’un point de vue théorique, autrement dit pour comprendre le fonctionnement du muscle cardiaque.  C’est important qu’ils comprennent ce qu’ils font. Quand on comprend, on a de meilleurs résultats. Après cela, l’entraînement est surtout qualitatif, on travaille en particulier la fréquence cardiaque, avec une cadence de pédalage et un temps d’entraînement progressif , précise le directeur sportif.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article


La magie de Noël s’installe au bourg

Mardi 13 décembre, les élus volontaires, Jean Le Magourou, premier adjoint, Michel Connan et René Leray, conseillers municipaux, s’étaient donné rendez-vous au bourg pour installer les décorations de Noël. La maire, Marie-Hélène Bernard, était venue superviser l’opération. « Nous avons choisi de louer les illuminations, précise-t-elle. Cette option nous semblait appropriée à la conjoncture. Le bourg scintillera avec des dispositifs peu gourmands en énergie et les enfants profiteront de la magie de Noël, avec le spectacle de Tal an Dour et du GAT, et les vœux de la municipalité le 13 janvier à 19 h ».

 

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L’association Tal an Dour a fait son kig ha farz

 

Le kig ha farz de l’association Tal an Dour est un événement toujours très attendu. Samedi 10 décembre, comme chaque année, la salle du bourg s’est remplie. La cuisine, tout d’abord, avec une équipe bénévole d’une efficacité incontestable.

Une centaine de repas ont ensuite été servis, agrémentés de musique puisque clarinettes et accordéon sont passés entre les tables, entraînant dans leur sillage les danseurs.

Prochain rendez-vous de Tal an Dour : samedi 7 janvier, salle des fêtes, à 15 h, Fabrice Mondejar présentera un spectacle pour les enfants de Peumerit et de Trémargat. Animation coorganisée avec le Groupement d’animations de Trémargat.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article.


Le jumelage avec l’Irlande sera révolu à la Saint-Patrick

À la demande de la présidente du comité de jumelage, Colette Noël, une assemblée générale extraordinaire a eu lieu mardi, où la dissolution du comité a été votée, non sans regrets, secrétaire et trésorier étant prêts à prolonger leur engagement.

Depuis 1984, le jumelage entre Trémargat, Peumerit, Kergrist, Lanrivain et quatre villages du pays de Muscrai en Irlande, a créé amitiés et souvenirs de voyages chaleureux. En effet, pendant une dizaine d’années, jeunes et adultes bretons ont pu être accueillis là-bas, tandis que leurs homologues irlandais sont venus une année sur deux. Colette Noël se souvient encore des découvertes musicales et autres échanges culturels, qui ont lié des familles entre elles si bien que  les gens ont fini par venir sans l’aide du jumelage.« Depuis cinq ans, le comité végète », témoigne Colette, qui quitte la présidence. En 2016, les 30 ans du comité avaient réuni environ 60 personnes.

Pour fêter sa dissolution, qui prendra effet le 17 mars, il invite toutes les personnes ayant participé à cette aventure autour d’un pot et d’un buffet offert, le jour de la Saint-Patrick, patron des Irlandais. D’ici là, ce dernier aura peut-être envoyé un sauveur…

 

Texte : Ouest France. Lien vers l'article.

 


Comité de jumelage : nouveau départ ou fin de l’aventure ?

Ce mardi, à 20 h, une réunion du comité de jumelage Bretagne-Irlande Muscrai-Kerné-Uhel se tiendra à la salle des fêtes. L’objectif : statuer sur le sort de l’association qui est en sommeil depuis décembre 2017. " En cette fin d’année, cela s’avère nécessaire. Les fondateurs ont beaucoup donné. Il faudrait que des personnes plus jeunes reprennent le flambeau", déclarent des membres du bureau, ou plus exactement de l’ancien bureau. "L’association ne peut pas perdurer sans bureau. Si elle n’intéresse personne, alors elle sera radiée. "

Aussi, lors de cette réunion, chacun est invité à venir échanger sur l’avenir du comité de jumelage et à partager le pot de l’amitié.

 

Texte : Ouest France. Lien vers l'article.


Ambiance châtaigne pour Tal an Dour

Vendredi 28 octobre, Tal an Dour fêtait la Samain à la salle des fêtes. Chacun avait apporté les châtaignes ramassées dans les chemins creux. Sur la grande table, on s’affairait à fendre l’écorce des châtaignes, alors que les enfants déguisés jouaient à se faire peur, en attendant l’arrivée des conteurs. Derrière le bâtiment, on se relayait autour du braséro, pour griller ce frugal festin. Le prochain rendez-vous est donné pour le traditionnel Kig ha Farz, samedi 10 décembre. Les réservations sont d’ores et déjà ouvertes sur le site de Tal an Dour ou par téléphone.

 

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Une initiation à la danse africaine appréciée

Larissa Oyane-Dutertre et Wedi, venue de Motreff (Finistère) avec ses élèves de percussion, ont animé une séance d’initiation à la danse africaine, lundi, à la salle des fêtes

 

Lundi 26 septembre. Les murs de la salle des fêtes ont vibré au rythme entraînant des percussions, lundi soir. Un pagne coloré autour des hanches, les huit danseuses ayant répondu à l’invitation de Larissa Oyane-Dutertre se sont vite laissées emporter par l’énergie rayonnante de la jeune femme.

Accompagnée par Thibault Dutertre à la percussion, Larissa propose de former un groupe de danseuses qui se réunirait une fois par semaine, d’octobre à mars. Wedi, professeur de percussions à Motreff, rejoindrait les danseuses une fois sur deux, avec ses élèves.

 Les percus apportent à la danse une énergie très forte, mais la danse afro peut être aussi douce et sensuelle. C’est un voyage avec son corps féminin que je veux proposer aux participantes, explique Larissa. Avoir cette pratique sportive en prenant du plaisir et en étant soudées entre femmes permet de décharger toutes les tensions accumulées dans nos vies parfois trop stressantes. 

Trois des danseuses assurent revenir au prochain cours. Pour Larissa, c’est une manière de partager sa richesse culturelle depuis deux ans.

Renseignements et inscriptions : Larissa, tél. 06 34 35 79 08. Cours de 18 h 30 à 19 h 45, un soir par semaine, 15 €.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article.


Une septuagénaire reconnaît ses camarades de 1952

9/10 au test de mémoire pour Josette Conan, qui est venue, dimanche 18 septembre après-midi, dans son ancienne école de Peumerit-Quintin, ayant rouvert ses portes à l’occasion des Journées du patrimoine. Devant le professeur de l’association Sauvegarde du patrimoine, la septuagénaire a su renommer les noms et prénoms de 42 enfants des 44 personnes présentes sur la photo de classe datée de l’année 1952.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article.


Peumerit se prépare à célébrer son patrimoine

Les Peumeritois se mobilisent en équipe pour aménager le bourg en préparation des Journées du patrimoine : binage d

es pissenlits dans les allées du cimetière puis préparation des panneaux en vue de l’installation des expositions pour le week-end.

 

À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, samedi 17 et dimanche 18 septembre 2022, les archives de Peumerit (Côtes-d’Armor) sortent de leur sommeil. Deux après-midi pour exposer le travail d’une année de collectage et de mise en relief.

 

L’association Connaissance du patrimoine en est à sa cinquième célébration. Après les communes de Lanrivain, Canihuel, Saint-Gilles-Pligeaux et Bothoa, Nicole et Michel Sohier se sont attaqués aux archives de Peumerit-Quintin (Côtes-d'Armor).

 

 

 

Un travail de collectage

 

Les collectages de photos, d’enregistrements, de films se font en rencontrant des gens. À Saint-Gilles, on m’avait dit d’aller voir Dédé, qu’il aurait des photos pour moi. Quand je suis allée chez lui, il m’a assuré n’avoir aucune photo à montrer. Il est finalement arrivé la veille de l’exposition, avec toutes ses photos ! se rappelle Nicole.

 

À Peumerit, deux journées de collectage organisées à la salle des fêtes ont permis de numériser une centaine de photos. Ce n’est pas l’histoire ancienne qui nous intéresse, mais celle qui parle aux gens, celle des années 1960-1970. Sur l’affiche, par exemple, c’est Michel Piver sur son tracteur tout neuf. Tout le monde le connaît à Peumerit. Et l’arrivée du tracteur, ça concerne les gens.

 

 

 

 

Un travail colossal de la part de Fulup Gwern, président de Tal an Dour ; Marie-Hélène Bernard, maire et Nicole Sohier, de l’association de Connaissance du patrimoine

 

Le projet à Peumerit a trouvé un écho. Le travail avec la mairie permettra d’y exposer les archives cadastrales à trois époques différentes (1840, 1956 et 1986) pour trois localités : Le Bourg, Le Loc’h et Kersolec. Les délibérations de conseil municipal ont fait l’objet d’un véritable épluchage, duquel ressortent les événements marquants de la vie des gens du pays.

 

L’enceinte de l’ancienne école y exposera son historique, de 1877 à 1975, et accueillera une centaine de photos, des cahiers et des dessins d’anciens élèves. Dans la salle des fêtes, seront projetées les archives de Tal an Dour, dont des vidéos de veillées.

 

La fontaine inconnue du Loc’h

L’asso Tal an Dour mènera les visiteurs autour du village du Loc’h et jusqu’à sa fontaine restée jusque-là inconnue. Révélations de témoignages oraux sur la vie des gens ayant rempli les maisons encore debout, forge, moulin, manoir disparu, orthostates vendus… L’occasion de faire revivre un bourg à l’époque au cœur battant. On n’a pas encore eu l’occasion de raconter tout cela », témoigne Fulup Gwern, président.

 

Texte et photos : Ouest France. Lien vers l'article.


Trente marcheurs présents pour la randonnée en breton

Padrig Feroc (au centre) en collaboration avec l’association Tal an Dour a réuni, samedi, une trentaine de personnes lors d’une ballade en breton de 7 km

 

Samedi 3 septembre, ils sont venus de Saint-Gilles-Pligeaux, de Rostrenen, de Saint-Adrien, ou même de Loudéac pour découvrir les chemins de la commune au rythme de discussions en breton.

À l’initiative de l’association Raok œuvrant pour le breton, le programme de la ballade a été copieusement enrichi par Tal an Dour : 7 km autour du lac, ponctués de rencontres chez l’habitant. Micheline Blouin du Rocleu a ainsi évoqué dans sa langue maternelle la création du lac en 1981. Les randonneurs ont ensuite rencontré Hubert Cam, le doyen de la commune âgé de 82 ans, et, en fin de parcours, Henri Le Naou, bien connu dans le pays pour ses chroniques bretonnantes diffusées sur RKB.  La particularité de cette ballade, par rapport aux précédentes organisées par Raok, c’est la participation de beaucoup de brittophones de la commune , explique Padrig Feroc.  C’est précieux de venir ici pour entendre le breton parlé du pays. Il y a une richesse qu’il faut continuer à partager », confie un promeneur vivant à Redon.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article.

 


De joyeuses fêtes du Pardon du Loc’h

Samedi 9 et dimanche 10 juillet, après deux années de privation, les fêtes du pardon du Loc’h ont pu se dérouler normalement, à Peumerit-Quintin. C’était, pour un public familial d’habitués, un retour à la vie « normale » teinté de soulagement après les contraintes sanitaires. « Nous avons eu moins de monde que d’habitude, confie le vice-président Michel Connan. Certains nous ont avoué avoir encore quelques inquiétudes face à la Covid » Le concours de boule de samedi a été remporté par René Magouarou et Philippe Huet ; celui de dimanche par Titif Prigent et Nicolas Le Lostec. Il n’y avait certes pas le nombre de boulistes des « grands jours », mais l’association s’est consolée avec une très honnête participation au repas crêpes qui a clôturé le week-end. Servi dans ce cadre champêtre, il a enchanté les convives qui ont profité de la fraîcheur du soir.

 

Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


Saint Cado célébré en bonne et due forme

Samedi 9 juillet, le pardon dédié à saint Cado, dit le « pardon des cerises » a été fêté à la chapelle du Loc’h. La cérémonie, était animée par un laïc de l’équipe d’animation paroissiale, Barthélemy Le Provost, et s’est poursuivie avec un tantad, cher aux paroissiens, qui s’est embrasé au son des cantiques chantés en breton.

 

Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


Les habitants retapent Ti Germaine et redonnent vie au village

Au village de Kernevez, à Peumerit-Quintin (Côtes-d’Armor), il ne restait plus qu’un seul habitant en 2005. Aujourd’hui, avec ses 18 résidents de 6 à 82 ans, le lieu-dit retrouve le sens de son nom breton, qui signifie « le nouveau village ». Une volonté collective, portée par deux couples, associés en SCI.

 

Germaine Coatentiec avait 99 ans quand elle a quitté sa maison de Kernevez, à Peumerit-Quintin (Côtes-d’Armor), en 2016. Installés dans une longère voisine dix ans auparavant, Riwanon An Habask et Pierric Pustoc’h se souviennent d’elle, appuyée sur son déambulateur et chaussons au pied sur le carrelage humide de sa maison. Un confort rustique avec des toilettes, en face de la maison, dans le poulailler.

 

Deux familles de voisins

C’est son gendre de 85 ans qui s’est occupé de la succession. Il nous a contactés directement, il voulait tout vendre. Tout avait été laissé en l’état, les bâtiments et quelques terres. Au début, on a dit non, on n’était pas sûrs de pouvoir le faire. Puis on a pensé à en parler aux voisins, explique Pierric Pustoc’h.

Aurélie Girardin et Alain Madec ont élu domicile à Kernevez en 2011. L’idée d’acheter à quatre leur a plu. On voulait pouvoir accueillir des gens avec les mêmes convictions environnementales que nous, témoigne Alain.

 

Une vision d’ensemble sur du long terme

Pour acheter en commun, les quatre voisins ont créé, en 2019, une société civile immobilière (SCI). On a redessiné les parcelles dans une vision d’ensemble, pour former potentiellement deux habitations avec un peu de terrain, un champ et un four à pain à part, pour lequel on a carrément créé une parcelle », indique Pierric.

L’objectif était de rénover en vingt-quatre mois puis de mettre en location, afin que les mensualités payent le crédit fait au départ. Une opération blanche, mais sur vingt-cinq ans !, explique Aurélie. Et puis l’enthousiasme l’a emporté : On avait vu comment chacun avait travaillé. On s’est mis d’accord pour rénover Ti Germaine comme si on allait y habiter nous-mêmes, explique Alain.

 Toiture, charpente, ouvertures… En deux ans, toute la maison y est passée. Et tous les temps libres des associés.

Entre le travail, les enfants, les engagements, on n’aurait pas pu le faire aussi rapidement sans le confinement », concède Riwanon. Une expérience très intense, longue et dure, qui a mobilisé tous les moyens des quatre associés, en plus de plusieurs chantiers participatifs.

Rénover le four à pain

Les clés de Ti Germaine ont été remises à la locataire au mois de février 2022. Les associés ont trouvé important de célébrer la fin du chantier en remerciant toutes les petites mains. Le 18 juin, un diaporama retraçant les étapes de la rénovation a agrémenté le banquet. L’occasion de se féliciter du chemin parcouru…

L’aventure n’est pas terminée puisque la SCI garde pour projet la rénovation du four à pain, pour un usage collectif, et la vente de la deuxième habitation potentielle.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article.

 


La nouvelle salle des associations a été inaugurée

C’est avec émotion que Marie-Hélène Bernard, maire, a entamé son discours, vendredi 1er juillet soir, devant la foule des invités, à l’occasion de l’inauguration de la salle des associations.  L’inauguration est un prétexte pour se rencontrer. Depuis deux ans que nous travaillons à cela, voilà que c’est maintenant possible ! , se félicite l’édile.

Tous les foyers de la commune avaient été conviés et de nombreux nouveaux résidents se sont déplacés pour l’occasion.

Se rencontrer, telle est donc la principale fonction de la nouvelle salle, située dans l’ancienne école, et rénovée dans le cadre du plan de relance départemental 2020. Les partenaires du projet, Alain Guéguen, maire de Plouguernével et conseiller départemental, Sandra Le Nouvel, présidente de la Communauté de communes du Kreiz Breizh, ont également honoré l’invitation, ainsi que les maires des communes voisines de Trémargat et Lanrivain.

 

Texte et photo : Ouest France. Lien vers l'article.

 


Les crêpes de Tal an Dour renouvellent leur succès

Voilà maintenant deux ans que l’association n’avait plus sorti ses billig ni ses tabliers. Sans plus de publicité, l’événement réunissait tous les mois presque 200 personnes.  C’était devenu trop pour les bénévoles ! », assure Fulup Gwern, président de l’association.

 On a décidé de repartir sur un rythme un peu moins soutenu : une fois tous les trois mois, ça ira bien ! Il nous faut un bon relais de crêpiers pour assurer le service. 

La soirée de reprise s’est donc faite en douceur vendredi 24 juin : une centaine de personnes, toutes générations confondues, s’est retrouvée vendredi à la salle des fêtes. Le principe : chacun apporte ses ingrédients, la crêpe beurrée est à 1 €. L’objectif : honorer cette occasion de se retrouver, de parler breton pour beaucoup, de se rencontrer parfois même entre voisins.  Pour certains, cela fait deux ans que je ne les ai pas revus , explique une dame de la commune voisine.

 À Peumerit on n’a pas beaucoup d’autres occasions de faire le déplacement !  ajoute Fulup. Bref, les crêpes de Tal an Dour, c’est l’Occasion, An Digare, telle qu’a été nommée en breton la buvette de l’association, ouverte elle aussi pour l’occasion.

 

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L’association Patrimoine zoome sur Peumerit

Micheline Blouin et Michel Conan ont apporté leurs photos, de quoi ravir l’archiviste Nicole Sohier (au centre)

 

En vue des Journées du patrimoine, les 17 et le 18 septembre, l’association Pélémoise collecte les archives locales afin de les numériser puis de les exposer.

Une après-midi d’histoires partagées a animé la salle des fêtes, lundi 13 juin. À chaque cliché, une époque se révèle et les visiteurs ont su enrichir la connaissance du patrimoine de la commune. Les visages retrouvent un nom et les lieux des événements, qui les font revivre. La journée du samedi 17 septembre sera dédiée au village du Loc’h. L’association Tal an Dour y animera une randonnée parsemée d’histoires d’habitants. « On compte aussi restaurer une fontaine inconnue, feunteun ar Sant, probablement la première de la chapelle du Loc’h », confie Fulup Gwern.

Trois espaces d’exposition seront ouverts au bourg. La mairie présentera les copies du cadastre napoléonien, pour une découverte cartographique des lieux-dits les plus importants des années 1840. L’ancienne école accueillera les photos de classe, étoffées d’histoires vécues contées en direct. Au boulodrome, seront exposés les clichés de la vie populaire.

 

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Patrimoine : un collectage de photos anciennes

De gauche à droite : Fulub Le Guern, président de Tal an Dour, Marie-Hélène Bernard, maire, et Nicole Sohier.

L’association Connaissance et Sauvegarde du Patrimoine organise un collectage de photos anciennes à Peumerit-Quintin. Ses membres seront présents le 13 juin, dans la commune, pour numériser les documents.

 

Cette année, l’association pélemoise Connaissance et Sauvegarde du Patrimoine organise les Journées du patrimoine, les 17 et 18 septembre, à Peumerit-Quintin. « Nous nous associons à Tal an Dour pour l’organisation de l’événement, indique la présidente, Nicole Sohier. Comme chaque année, nous recherchons des photos de la commune, qui témoignent du passé : les fêtes, les noces, les moissons, l’école, les conscrits, les pardons, les comices agricoles, les bars, les artisans, la station des étalons de Kersolec… Tout ce qui raconte l’histoire de la commune, au bourg, comme dans les villages. »

Aussitôt numérisé, aussitôt rendu

 

Les membres de l’association seront présents le lundi 13 juin, à 14 h, à la mairie, pour recevoir les documents qui seront immédiatement numérisés et restitués à leurs propriétaires. « Ces photos nous permettront de créer un fonds documentaire très intéressant pour préparer l’exposition », conclut-elle.

 

Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


Tal an Dour reprend ses festivités après deux ans de pandémie

Le bureau a été reconduit. À gauche : Jean-Yves Feroc, trésorier ; Fulub Le Guern, président ; Pierrick Pustoc’h, trésorier adjoint.

L’assemblée générale s’est tenue vendredi 3 juin. L’occasion d’évoquer les projets de l’association.

 

Vendredi 3 juin, l’association Tal an Dour se réunissait en assemblée générale à la salle des fêtes. Avant d’ouvrir la séance, c’est avec émotion que le président, Fulub Le Guern, a rendu hommage à Jean-Yves Blouin, membre fondateur de l’association, disparu en novembre 2021.

 

Puis il a présenté le bilan moral, et évoqué le besoin urgent de rajeunir l’association : « La création d’une section jeune, de Tal an Dour, permettrait d’impliquer les 13-18 ans, souligne-t-il. Il serait intéressant de les rencontrer pour mûrir ce projet. 2021 a été marquée par la crise sanitaire, poursuit-il, Tal an Dour n’a pas voulu s’engager dans l’organisation d’événements en jauge limitée, avec masque, et passe sanitaire. Néanmoins, l’association est restée très active, avec de nombreux chantiers de débroussaillage des chemins. Le dernier Troc O’plants, le 8 mai a été une réussite. Il a ouvert à voie à la reprise des activités ».

 

Le 9 juin, l’association recevra le « Café de la biodiversité », à la salle des fêtes. Il aura pour thème les mammifères sauvages du Centre-Bretagne, et Pierrick Pustoc’h mettra un petit coup de projecteur sur la mulette perlière. À cette occasion, le café associatif servira les boissons. Le débat sera suivi d’un repas en mode « auberge espagnole ». Le 24 juin, le repas crêpes sera organisé en collaboration avec l’association « La Salamandre ».

 

Les 17 et 18 septembre, Tal an Dour collaborera avec « Connaissance et Sauvegarde du Patrimoine », de Saint-Nicolas, pour l’organisation des journées du Patrimoine. En octobre, une soirée châtaignes remplacera la soirée crêpes, et en fin d’année, le Kig ha farz est reconduit. Cette année, le spectacle de Noël pour les enfants et le lapin de Pâques seront organisés avec le GAT, de Trémargat, à Peumerit-Quintin.

 

 Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


Le chantier participatif a rafraîchi le sentier de Kerfaven

Samedi 14 mai, les bénévoles avaient rendez-vous au bourg de Peumerit-Quintin pour le départ du nouveau chantier participatif organisé par la commission sentiers de randonnée, sur le chemin de Kerfaven. Il s’agissait de renforcer les « banquettes » avec du sable de granit, de façon à les stabiliser. L’équipe a eu le plaisir de croiser des randonneurs et des vététistes enchantés par ces aménagements. Le prochain chantier participatif est prévu le 11 juin, et aura pour objet la réfection des passerelles.

 

Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


Beau succès du « troc O’plants » de Tal an Dour

Dimanche 8 mai, le « troc O’plants » de Tal an Dour s’est tenu au boulodrome. Le président, Fulub Le Gwern, est ravi. « Nous avons eu des participants venus de tout le département, avec des cageots débordant de plants : des potagères, des fleurs, des aromatiques, des médicinales… Ce fut un beau moment d’échange, dans le respect de notre concept : on ne vend rien, on n’achète rien, et on s’cause ! » Le temps de boire quelques cafés à la buvette, les plants sont passés de mains en mains, accompagnés de recommandations éclairées et d’un « à l’an prochain ! » échangé avec un grand sourire.

 

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Des jeunes Peumeritois ont validé leur formation aux premiers secours

Samedi 23 avril, une formation PSC1 était proposée à la maison des associations. Prise en charge par la municipalité pour les habitants la commune, âgés de 10 à 20 ans, elle a remporté un vif succès. « Ce stage s’inscrivait dans notre démarche d’implication des jeunes dans la vie communale afin de leur permettre de devenir des acteurs de la vie citoyenne, explique Marie-Hélène Bernard, maire. Ainsi, s’ils sont témoins d’une situation d’urgence, ils sauront comment agir. Ils seront aussi les bienvenus à la réunion publique du 14 mai, ayant pour objet les aménagements paysagers du bourg ».

 

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des volontaires recherchés pour que perdure le Pardon du Loc’h

Mardi, les Amis de la chapelle du Loc’h étaient réunis en assemblée générale à la salle des fêtes de Peumerit-Quintin. Le bureau a été réélu de la sorte : Erwoan Becel, président ; Michel Connan, vice-président ; Louisette Bournault, trésorière ; Sylvain Le Provost, secrétaire.

Malgré quelques inquiétudes quant au recrutement des bénévoles, l’association a fixé les fêtes du pardon des cerises au week-end du 9 et 10 juillet. Au programme : deux jours de tournois de boules, pardon avec tantad samedi et soirée crêpe champêtre dimanche soir. L’association recherche des volontaires !

 

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Sentiers de randonnée : pas japonais et banquettes pour passer à pied sec

Samedi, la commission espaces naturels organisait un chantier sur les sentiers de promenade. Pierrick Pustoc’h, adjoint au maire, a expliqué les aménagements : « Les chemins creux sont généralement très humides, donc difficilement praticables. Avec la commission de bénévoles volontaires très motivés, nous aménageons les passages délicats avec des solutions simples à réaliser, mais efficaces : des pas japonais, posés à l’entrée du chemin de Kermarc. Les banquettes de Kerfaven ont été renforcées et la passerelle du gué, devenue dangereuse, démontée. Elle sera refaite lors du prochain chantier ».

 

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Le groupe de musique fait danser les anciens

Le groupe de musique formé par Jean Le Magourou, au saxo et la clarinette, Alain Bournel, à la guitare et au banjo, et Colette Noël, aux percussions, a répété, jeudi, à la salle polyvalente. Le répertoire de ces musiciens voyage à travers des musiques de variété des années 1960, 1970 et 1980, avec une deuxième partie plus bretonne.

 

À l’origine, il y a quatre ans, nous nous retrouvions pour le plaisir de jouer. De fil en aiguille, nous nous sommes fait inviter à des mariages, des anniversaires. Et l’idée nous est venue l’idée de jouer bénévolement dans les Ehpad »," explique Jean Le Magourou.

 

Notre spectacle dure une heure et demie. Nous jouons dans différents Ehpad (Saint-Nicolas, Rostrenen…) bénévolement. Avec le Covid, on a été stoppés mais comme ça va peut-être repartir, on se prépare… Les personnes âgées sont contentes, ça rappelle leur jeunesse, l’époque des bals… Elles dansent. Et ça fait plaisir."

 

Contact : tél. 06 48 74 90 36.

 

Texte : Ouest France. Lien vers l'article.


Les jeunes Peumeritois invités à participer aux projets communaux

Encore un peu timides, les jeunes Peumeritois ont déjà émis quelques idées notamment pour l’aménagement de la pelouse du boulodrome, avec des plantes médicinales et des petits fruits.

Six jeunes de la commune ont rencontré les élus samedi matin. La municipalité souhaite les associer à certains projets.

Parce que s’impliquer dans la vie de sa commune peut se faire dès le plus jeune âge, samedi 5 février, Côme, Thaïs, Milig, Selma, Amandine et Clément, six jeunes Peumeritois, rencontraient à la mairie Marie-Hélène Bernard, maire, et Simon Berthelin, conseiller municipal.

 

Donner la parole aux jeunes

La maire souhaite en effet donner la parole aux jeunes, leur permettre de participer à certains projets de leur commune. Cette première séance de travail était l’occasion de faire connaissance et de définir le champ d’action. Marie-Hélène Bernard a orienté les premières idées : réalisation de la prochaine carte de vœux de la municipalité, participation au réaménagement de la pelouse du boulodrome, en collaboration avec la commission environnement, et proposition d’ateliers dans la salle des associations.

 

Le groupe prévoit de rencontrer les autres jeunes dans leurs familles, afin de partager leurs projets. La réunion s’est poursuivie avec une visite des lieux en attente de projets, à savoir la maison des associations, et le boulodrome couvert.

 

Texte et photo : Le Télégramme. Lien vers l'article.


TAL AN DOUR

 Soirées Crêpes

 

http://www.talandour.fr

PARDON DU LOC'H